Après César Guérin, Robin Courty, formé à Esvres et passé par l’UST, au tour de Wreford Sambrook-Smith, formé à Loches et également licencié chez les orange et bleu de revenir à l’US Tours.
Erreur : Formulaire de contact non trouvé !
Après César Guérin, Robin Courty, formé à Esvres et passé par l’UST, au tour de Wreford Sambrook-Smith, formé à Loches et également licencié chez les orange et bleu de revenir à l’US Tours.
Après avoir enregistré l’arrivée de dix recrues, l’US Tours est heureuse de vous annoncer aujourd’hui la signature d’un international bulgare, Smilko Debrenliev.
Après l’annonce de huit recrues, nous terminons la semaine en vous dévoilant la venue d’Hugo Pichly, qui nous arrive d’Auxerre et le retour de Robin Courty. Prochain rendez-vous lundi.
Et de huit ! Après Le Bodo et Dupuy (Le Havre), les frères Boutet (Chinon), Tejon et Guérin (Joué-les-Tours), au tour de Khvtiso Eloshvili et Guillaume Touchet de signer à l’US Tours.
KHVTISO ELOSHVILI – PILIER – GEORGIE
Né en Georgie, Khvtiso Eloshvili (35 ans, 1,80m, 110kg) a joué deux ans à Saint Junien (2017-2019), en Fédérale 2, puis à Saint André de Cubzac (2019-2020), en honneur.
Khvtiso peut jouer pilier et talonneur.
GUILLAUME TOUCHET – AILIER – ROCHEFORT
Natif de Perpignan (Pyrénées Orientales), Guillaume Touchet (25 ans, 1,80m, 87 kg) débute le rugby à 18 ans, en 2014 à l’Etoile Sportive Catalane (Fédérale 2), basée à Argelès-sur-mer. Ailier de formation, il rejoint le SA Rochefort (2020-2021), en Fédérale 3, après s’être engagé dans l’Armée. La crise sanitaire et une déchirure aux ischios l’ont contraint à arrêter le rugby et écarté des terrains pendant un peu plus d’un an.
Avant de jouer au rugby, Guillaume a pratiqué le judo à Saint Cyprien, le foot au Canet et l’athlètisme à l’Union Perpignan Athlè 66. Doté d’une jolie pointe de vitesse, ce redoutable sprinter possède des records personnels édifiants : 11”19 sur 100m et 23”06 sur 200m.
Après Dupuy et Le Bodo, venus du Havre et les frères Boutet de Chinon, au tour de Mathieu Tejon et César Guérin, transfuges de Joué-les-Tours de signer à l’US Tours.
Après avoir fait les beaux jours du Stade Poitevin et joué la saison dernière au SC Chinon, Dominique et Maxime Boutet ont décidé de signer à l’US Tours.
Chers amis de l’UST, à quelques semaines de la reprise du championnat, il est temps pour nous de vous présenter nos nouvelles recrues. Chaque jour de cette semaine vous découvrirez 2 nouveaux joueurs.
Intronisé récemment coordinateur technique de l’US Tours, Thibault Dubarry, successeur de Pascal Sassi et de Sébastien Velez, a tenu à s’entourer d’un staff étoffé pour bien figurer en Fédérale 2. L’ancien champion de France 2016 avec le Racing pourra s’appuyer sur six adjoints. Présentation.
Quand, au printemps 2020, Thibault Dubarry revient en Touraine, à 32 ans, ses intentions sont claires. « Je viens pour filer un coup de main à l’UST, assure l’ancien champion de France 2016 avec le Racing. Je veux uniquement prendre du plaisir. Je vais d’abord jouer une saison. Après on verra. Si j’ai encore la motivation, je prolongerai. Si mon corps me dit stop, j’arrêterai et j’entraînerai les jeunes. »
Le plan de route était fixé. A quelques détails près, Dubarry ne s’était pas trompé. Juste sur le nombre de casquettes, serait-on tenté d’écrire… A la rentrée prochaine, le natif de Chartres, passé par les cadets de l’UST et Touraine Plus, ne s’occupera pas des jeunes, mais de l’ensemble des sections. Dubarry, nommé coordinateur sportif, aura un œil sur tout. Sa mission est multiple et variée. Elle ira de la formation à l’équipe première, sans oublier l’académie. Salarié du club, Dubarry deviendra en fait le patron du rugby tourangeau. Occasion de faire le point, avant qu’il ne dévoile prochainement la composition de son staff.
Evoquons tout d’abord votre fin de carrière. Elle est intervenue un peu précipitament ?
Thibault Dubarry. Effectivement, la fin ne s’est pas déroulée comme je l’aurais voulue. La saison a été difficile à vivre. Avec mon dos, j’ai connu des pépins de santé à répétition. Je me suis accroché, j’ai fait le maximum pour finir sur le terrain. Je m’étais fixé comme objectif d’emmener les gamins de la B le plus loin possible. Malheureusement, en seizièmes contre Gennevilliers, à Fleury les Aubrais, je me suis blessé et mon corps a dit stop.
Après huit saisons au plus haut niveau à Brive, au Racing et à Biarritz, cela a dû être dur de tourner la page ?
T.D. C’est le sport. Parfois, on ne choisit pas. Je sentais bien que la fin était proche. Mon seul regret, c’est que mon corps ne suivait plus. Dommage car ma tête était toujours là pour jouer, mais le matin, je me levais avec trop de douleurs. J’ai été opéré cinq fois. A bientôt 35 ans, j’arrête, mais je suis sûr que l’avenir me réserve de belles surprises. Je ne regrette pas d’avoir décidé de revenir à Tours. Avec Carole, ma compagne et Olivia, ma puce de trois ans, nous avons retrouvé un équilibre et un cadre de vie plus calme, qui nous convient à merveille.
Comment avez-vous réagi quand le club vous a demandé de prendre les rênes ?
T.B. Là encore, tout s’est accéléré. Je découvre cette nouvelle fonction. Le projet me plaît énormément, je vais m’adapter. J’aurais voulu me former en débutant avec les jeunes, avant d’avoir la responsabilité des seniors. Le travail est colossal et fascinant. Cela ne se fait pas en quatre, cinq mois. Je suis confiant, car j’ai l’impression que beaucoup de choses au club sont en train de bouger. Avec des garçons comme Thierry Neveu, que j’ai eu comme coach, les frères Sébillet, Walter Rossignol, Hugues Sollin, je me sens entouré. Je leur en suis reconnaissant.
Quelles sont vos priorités ?
T.D. J’aimerais que l’UST reprenne des couleurs et retrouve le plus haut niveau amateurs, mais je ne veux pas brûler les étapes. Je sais que la tâche sera compliquée. Ma priorité est de consolider les fondations, de retrouver un état d’esprit, une cohésion et un vrai collectif. Je ne m’enflamme pas, mais je veux construire une histoire. Depuis plusieurs semaines, je travaille sur le recrutement. Je m’efforce de bâtir un staff étoffé, où chacun aura un rôle bien précis. Je n’ai pas toutes les compétences et je n’ai pas honte de le reconnaître. Quant au choix des hommes, à mes yeux, il sera important et primordial. Sportivement, je cherche de bons joueurs, mais j’attache aussi beaucoup d’importance au côté humain. La mentalité m’intéresse avant tout. Dans ma carrrière, j’ai beaucoup apprécié un club comme Brive, où les valeurs du rugby étaient prépondérantes. Je vais essayer de m’en inspirer.
La formation reste l’ADN de l’UST. Allez-vous vous en servir ?
T.D. Bien sûr. J’ai cotoyé beaucoup de jeunes lors de la fin de saison en jouant avec la réserve. Beaucoup ont du talent. Il ne s’agit pas de les griller, mais il ne faudra pas être frileux et, très vite, les mettre dans le grand bain. Cela risque d’être compliqué physiquement pour eux, au début, mais si nous les formons bien, ils auront tout le bagage technique pour s’exprimer à ce niveau. En Fédérale, ce sera une autre histoire. Notre rôle d’entraîneur est de les accompagner. De même, j’ai découvert des joueurs, qui en travaillant peuvent évoluer au dessus, j’en suis persuadé. Je veux que tout le monde se sente concerné par l’aventure.
En résumé, quels sont les mots forts de votre discours ?
T.B. Exigence, discipline, rigueur pour tendre vers la performance.
Avez-vous déjà envisagé quelques modifications ?
T.D. Au niveau de l’entraînement, il y aura au départ trois séances hebdomadaires, les lundis, mercredis et vendredis. Avec un jour de repos entre chaque cession. A l’approche du début du championnat, on changera. Le lundi sera consacré à la récupération et aux soins. Les joueurs pourront aller à la piscine, se laver la tête. Puis ensuite, on enchaînera le mardi, mercredi et vendredi.
Au niveau des départs, pouvez-vous faire un premier point ?
T.D. Il y a tout d’abord les arrêts de joueurs historiques comme Bastien Biet, Jean Jacques Etamé, Julien Guerche, Quentin Barré, Aymeric Grelle et moi même. A cette liste, s’ajoutent des garçons comme Lucas Poisson, joueur promis à un bel avenir que le club a accompagné pour signer à Rouen (Pro D2), ainsi que Léo Guillemet, qui, en raison de la poursuite d’études supérieures sur Paris, signera à Gennevilliers (Fédérale 1) et, enfin, Charly Thuret, désireux de vivre une aventure dans le Sud Ouest pour suivre sa compagne.
BERTRAND BOURGEAULT
Reprise de l’entraînement. Lundi 1 août à la Chambrerie.
Stage en altitude. Du 19 au 21 août à Riom-ès-Montagnes dans le Cantal
Matches amicaux. Deux sont envisagés : les 27 ou 28 à définir et un second à Riom (Puy de Dôme) le 3 ou 4 septembre.
Depuis dimanche à Agen, Thomas Soulié est vice champion du monde militaire de rugby à 7. Compétiteur dans l’âme, le numéro 8 tourangeau n’est qu’à moitié satisfait. Il rêvait d’être champion du monde et il a échoué. Entretien après cette performance XXL, avec un sacré bonhomme, un super type, qui a porté très haut dans le ciel d’Armandie les couleurs de l’US Tours. Tu peux être fier « Poulpi » …